L’usine Electrolux
ferme à L’Assomption : 1300 membres sous le
choc
Réaction de la FTQ à la fermeture de l’usine
Electrolux de l’Assomption
«
Ce n’est pas vrai que nous allons abandonner les
travailleurs et leurs familles sans nous battre,
Québec doit réagir rapidement pour sauver les
emplois » – Michel Arsenault, président de la FTQ
Michel Arsenault
President FTQ
Montréal, le mercredi 15 décembre 2010 – La
Fédération des travailleurs et travailleuses du
Québec (FTQ) déplore la décision de la compagnie
suédoise Electrolux de fermer son usine de
l’Assomption. « Cette décision est d’autant plus
injustifiée que l’usine est rentable et ses
travailleurs formés, compétents et performants.
La FTQ demande de rencontrer de toute urgence le
ministre du Développement économique, de
l’Innovation et de l’Exportation, Clément
Gignac, afin d’empêcher cette fermeture », a
déclaré Michel Arsenault président de la FTQ.
« L’annonce de la fermeture à
quelques jours de Noël est particulièrement odieuse
et difficile à avaler pour les travailleurs, les
travailleuses et leurs familles. Nous comprenons
maintenant pourquoi la direction américaine a rejeté
au cours des derniers mois toutes nos suggestions
pour améliorer la production et la compétitivité de
l’entreprise. C’est que Electrolux avait déjà décidé
de fermer l’usine et de transférer sa production,
selon nos sources, à Memphis au Tennessee. C’est
désolant de la part d’une multinationale comme
Electrolux », a ajouté Dave Chartrand, directeur du
district 11 de l’Association internationale des
machinistes et des travailleurs et travailleuses de
l’aérospatiale (AIMTA).
« La FTQ va également demander à la Confédération
internationale du travail, dont elle est membre, de
faire les pressions nécessaires auprès du siège
social d’Electrolux en Suède afin qu’elle
reconsidère sa décision. Nous n’avons pas le droit
d’abandonner les travailleurs et les travailleuses
de cette usine », a conclu Michel Arsenault.
La FTQ, la plus grande centrale syndicale
québécoise, représente plus de un demi-million de
membres.
« À voir aller cette compagnie avec son
monde, il n’y en a pas juste une qui se
promène en bandit de grand chemin »
Montréal, mardi 30 novembre 2010 – En marge
du Congrès de la Fédération des travailleurs
et travailleuses du Québec (FTQ), les
délégués ont manifesté leur soutien aux
syndiqués du Syndicat des communications, de
l’énergie et du papier (SCEP) de la
multinationale Shell pour empêcher le
démantèlement de la raffinerie dans l’est de
Montréal.
« Cette fermeture aura des
conséquences importantes non seulement pour les
travailleurs et travailleuses mais également sur la
sécurité énergétique du Québec et la circulation
accrue d’hydrocarbures sur le fleuve. Il faut
soutenir cette lutte qui concerne tous les
Québécois», a soutenu Michel Arsenault.
« Nous ne devons pas laisser Shell faire
indirectement ce que la loi lui interdit, en
laissant ses installations de raffinage se dégrader
à la faveur de la saison froide. Le gouvernement
doit ramener cette compagnie à la raison et lui
rappeler ses obligations», a conclu le président de
la FTQ.
Nouvelle
convention collective Section Locale 1660
Association technique-Andritz
Yves Raymond
Agent d'Affaires
Réunis en assemblée spéciale, les membres de
l’Association technique d’Andritz ont
accepté par une forte majorité les offres
patronales.
La convention est d’une durée de 3 ans
prévoit des hausses salariales de 4%,
auxquelles s’ajouteront 4 augmentations
reliées au cout de la vie. Au total pour les
3 années les hausses vont totaliser près de
6%.
Autres faits importants, les bénéfices
d’assurance collective et du régime de
retraite seront maintenus pour la durée de
l’entente. La clause d’évaluation au
rendement, qui peut amener une hausse
salariale a aussi été maintenue.
Félicitation au comité de négociation
Marissa Petruzzo
Guy Lalande
Robert Pagé
Le drapeau du
syndicat des Machinistes flotte au sommet du
Kilimandjaro
Le confrère Michel Pelot Directeur
Adjoint Régional au District 140 a réussi
l'ascension du Kilimandjaro au profit de la
Fondation Robert Piché. L'objectif de cette
ascension était d'amasser $100,000 pour la
Fondation.
Le voyage c'est fait du 22 septembre et 6
octobre 2010.
La Fondation Robert Piché est un organisme
de bienfaisance qui vient en aide aux
personnes ayant développé un problème de
dépendance face à l'alcool, la drogue, ou le
jeu. L'objectif fondamental de la Fondation
est d'aider ses gens à se réhabiliter de
façon durable par une réinsertion sociale
parmi la communauté.
L'itinéraire de
L'ascension
Jour 5 Moshi- Mti Mkubwa Camp:
Après le petit-déjeuner, départ vers le parc
national du Kilimanjaro. Entrée par Londorossi Gate
à l’ouest de la montagne. Début de l’ascension
jusqu’à Mti Mkubwa Camp à travers la forêt
tropicale. (PD, D, S)
Jour 6 Mti Mkubwa Camp - Shira Plateau Camp
Dès le début de l’ascension, la forêt fait place à
la lande, là où les plantes dépassent rarement le
stade d’arbustes. En après-midi, vous traverserez le
Shira Caldera, un haut plateau désertique. Shira est
le troisième cône volcanique du Kilimanjaro, il est
rempli de lave ayant coulé depuis le sommet Kibo.
(PD, D, S)
jour 7 Shira Plateau Camp - Moir Camp Climb
En matinee, traversée du grand plateau Shira en
passant par Shira Cathedral jusqu’au camp Moir,
cache au fond d’une grande gorge, au pied d’une
grande coulée de lave. (PD, D, S)
Jour 8 Moir Camp Climb-Barranco Camp
Ascension vers le Lava Tower lower camp, à 14,950
pieds (4,556 m), où le diner sera pris. Descente à
travers la forêt géante de Senecio jusqu’au camp
Barranco, au pied de Barranco Wall. C’est le point
de rencontre des routes Machame et Lemosho. (PD, D,
S)
Jour 9 Barranco Camp-Karanga Camp
Le défi ce matin est de faire l’ascension de
Barranco Wall, une coulée de lave de 500 pieds. Une
fois en haut du mûr, l’ascension deviant plus facile
et la vue est fantastique! Vers la fin de la
journée, descente dans la Vallée Karanga et remontée
de l’autre côté pour s’installer au camp. Les
couchers de soleil à cet endroit sont merveilleux.
(PD, D, S)
Jour 10 Karanga Camp-Barafu Camp
Une journée d’ascension sur des pentes rocheuses
jusqu’au camp Barafu. Le mot swahili “Barafu” se
traduit par "glace". Ce lieu est aussi très venteux
et froid à cause de l’altitude. La fébrilité est
dans l’air en anticipation du lendemain et
l’atteinte du sommet. (PD, D, S)
Jour 11 Barafu Camp- Uhuru Peak (le sommet!) -
Crater camp
Ascension jusqu’au cratère, diner sur le bord du
cratère et ascension jusqu’au sommet. La vue du
sommet est dramatique! La température et les effets
de l’altitude détermineront combien de temps vous
pourrez rester sur le sommet. Ensuite, descente
jusqu’au crater camp pour la nuit, en face du
Furtwangler Glacier. (PD, D, S)
Jour 12 Crater camp-Mweka Camp
Après le déjeuner, petite ascension jusqu’au Ashpit,
où des gazes son tune preuve que le Kilimandjaro est
un volcan qui dort. Descente jusqu’au camp Mweka, où
vous passerez votre dernière nuit de camping en
montagne. (PD, D, S)
Jour 13 Mweka Camp-Moshi
Descente jusqu’à Mweka Gate / Moshi Hotel (PD, D, S)
Michel Pelot
Directeur Adjoint Régional
District 140
Les membres de
l'AIMTA à l'extérieur des bureaux du CCRI
Des centaines de membres de
l'Association internationale des machinistes et des
travailleurs et travailleuses de l'aérospatial
(AIMTA) se sont rassemblés le lundi 4 octobre 2010 à
l'extérieur des bureaux du Conseil canadien des
relations industrielles (CCRI). Ces employés d'Air
Canada passeront à l'emploi d'Aveos Fleet
Performance Inc.
Manifestation,
lundi 4 octobre!
Les consœurs et confrères de la
section locale 1751 œuvrant chez Air Canada ont
besoin de notre aide. Si vous avez la disponibilité,
vous devez participer…Merci!
Manifestation à Ottawa
Suite à la rencontre du 20 septembre 2010 à Toronto,
le Conseil canadien des relations industrielles a
finalement confirmé des dates d’audiences au sujet
de la déclaration de la vente d’entreprise à Aveos
Fleet Performance Inc. Le 29 septembre 2010 une
audience aura lieu à 10hrs au bureau du Conseil
canadien des relations industrielles de Toronto, # 1
Front Street West, 5e étage suite 5400, Toronto
Ontario. Les 4, 5 et 6 octobre, les audiences auront
lieu au bureau centre du Conseil canadien des
relations industrielles dès 10hrs au 240 Sparks
Street à Ottawa Ontario. Le 4 octobre 2010, la
section locale de l’AIMTA de Montréal fournira le
transport par autobus à toutes les personnes qui
désirent nous appuyer dans nos revendications lors
des audiences au CCRI. Pour certains de nos membres,
ceci est peut-être le combat ultime concernant leur
futur avec Air Canada.
Pour information : : Section locale 1751 (
514-332-2668)
District 11 (514-956-1578)
Les Machinistes en action…En
avant les braves!
Grâce à vous le « CMQ » relève le défit
!
Lors du congrès du Conseil des
Machinistes, les participants ont lancé un défit à
la nouvelle direction.
« Organisez des rencontres éducatives et
intéressantes et nous participerons »!
Le comité exécutif a relevé le défit…Nous avons
choisi d’élargir les rencontres à tous les groupes
de personnes intéressé par les sujets que nous
allons proposer.
Thème de la première rencontre: 50% de nos membres
risquent de vivre un conflit familial au cour de
leur vie active.
Nous avons élargi notre invitation aux aidants
naturels dans les milieux de travail « PAE, délégué(e)s
sociaux, etc. ».
Vous avez répondu! 35 participants, une première et
un succès…Notre conférencière invitée, Me. Nancy
Provencher spécialisée dans le droit familial, fût
emballée par l’intérêt et la participation. Vos
commentaires sont positifs, « ÇA MARCHE ».Ce n’est
qu’un début et nous allons peaufiner, améliorer et
diversifier ce style de rencontre.
« Le CMQ se veut l’organisme rassembleur de tous les
Machinistes du Québec. Avec votre aide nous allons y
parvenir et déjà vous en faite la preuve.»
Un seul mot pour conclure « MERCI ».
David Chartrand
Président
À TOUS LES MEMBRES DE
LA SECTION LOCALE 1660
L’AIMTA est heureuse d’annoncer son
programme de bourses d’étude 2011 qui offre des
bourses renouvelables à chaque année:
Les récipiendaires reçoivent un prix de 2,000$ par
année scolaire. Ces bourses sont décernées sur une
période définie pouvant varier entre un et quatre
ans pour aider les membres à poursuivre des études
universitaires de premier cycle ou encore des études
professionnelles ou techniques dans le cadre d’un
programme de deux ans.
Les enfants des membres reçoivent des bourses de
1,000$ par année d’études collégiales. Toutes les
bourses sont renouvelées chaque année jusqu’à
l’obtention du baccalauréat ou jusqu’à concurrence
de quatre années, selon la première éventualité.
Études professionnelles ou techniques- 2,000$ par
année jusqu’à l’accréditation ou jusqu’à concurrence
de deux années.Tout(e) candidat(e) doit être membre
de l’AIM; fils, fille, beau-fils ou belle-fille ou
enfant légalement adopté d’un membre de l’AIM. Un
membre candidat doit être membre en règle depuis
deux ans à la date de fermeture du concours le 25
février 2011.
Le formulaire
de demande de bourses d’étude de l’AIM 2011 est
disponible sur le site internet de la section locale
1660 ainsi qu’à la :
Section Locale 1660 / Local Lodge 1660
663, 2e
Av. Lachine, Qc.
H8S 2T3
Tel: (514) 637-3031
Vous devez d’abord compléter la demande et poster à
la Grande Loge à l’adresse mentionnée sur le
formulaire. Tout formulaire d’admission complété
doit être reçu par la Grande Loge au plus tard le 25
février 2011. La section locale 1660 verse une
cotisation annuelle au fonds du programme de bourses
d’étude de l’AIM. Nous vous encourageons à y
participer et nous vous souhaitons la meilleure des
chances.
Mise au point: sur
sur le vote obligatoire lors d'une requête
en accréditation
Consoeurs,
Confrères,
Comme
vous avez pu lire dans les journaux,
français et anglais, à Montréal comme à
Québec et Sherbrooke, certains analystes de
l’Institut Économique de Montréal soumettent
qu’au nom de la démocratie il doit y avoir
un vote obligatoire lors d’une requête en
accréditation (une demande de
syndicalisation) afin de confirmer la
volonté
des travailleurs et travailleuses.
Qui est en accord avec cette affirmation ?
Eh bien, le Conseil du Patronat (dont l’ancien président
est le nouveau président de l’Institut
Économique de Montréal), les jeunes libéraux
en congrès, les jeunes adéquistes en congrès
et voilà qu’ils se sentent légitimés par un
sondage qui leur donnerait raison.
Gilles Brosseau
Coordonnateur
Québécois AIMTA.
Mise au point:
Sous la couverture, trop souvent utilisée,
de la grande démocratie, ils soulèvent que
71 % de la population est d’accord car «
c’est démocratique » et le plus surprenant
c’est que 80% des syndiqués seraient aussi
en accord. J’aimerais bien entendre comment
la question a été posée par les sondeurs.
Mais depuis quand les employeurs
s’inquiètent-ils de la démocratie dans les
milieux de travail? Le seul qui peut apporter la
démocratie au travail c’est le Syndicat
et c’est de ça qu’ils ont vraiment peur, une
peur bleue.
Il est évident qu’à première vue, ça semble
bien fondé car démocratique. Et qui donc
serait contre de tenir un vote
démocratiquement.
Mais la réalité est tout autre.
La très grande majorité d’entre nous,
syndiqués, n’a jamais eu à se battre pour se
syndiquer et n’a jamais participé à une
campagne de syndicalisation.
Au souper reconnaissance de la section
locale 869, ce printemps dernier, un hommage
fût rendu à ceux et celles qui ont participé
à la syndicalisation de Rolls Royce Canada,
un hommage à leur COURAGE; courage de se
tenir debout face à l’employeur, avec les
risques que ça comportait, courage de se
tenir debout face aux autres travailleurs
qui étaient contre, courage de vouloir se
faire respecter quitte à en assumer les
conséquences.
En 2009, une campagne de
syndicalisation se fait encore en secret,
comme si c’était toujours illégal de se
syndiquer. Mais pourquoi donc ?
Parce que des travailleurs et des
travailleuses se font congédier en tentant
d’exercer ce droit de se syndiquer. Lorsque
l’employeur ne trouve pas de raisons
disciplinaires pour les congédier, ils se
retrouvent isolés, épiés et trop souvent
subtilement menacés.
Parce que les
employeurs utilisent des moyens crapuleux
pour démotiver ces travailleurs qui ne
cherchent qu’à se faire respecter; tels
appels anonymes à leurs conjoints/conjointes
qui présument la perte de leur emploi, la
fermeture de l’usine ou du bureau. cherchent
qu’à se faire respecter.
Ceux et celles qui étaient au dernier
Congrès de la FTQ à Québec, ont entendu de
tels exemples pendant une heure et demi, que
ce soit l’exemple de Messier Dowty à Mirabel
ou de Walmart au Saguenay.
Pourquoi ce droit de se syndiquer est-il
perçu comme un désavantage pour les
entreprises québécoises devant la
concurrence internationale ? Ça va si mal
que ça au Québec ?
Non, ce n’est pas la raison.
La raison est bien simple : Ils
sont contre et archi-contre les syndicats.
Ils sont contre le fait que les travailleurs
et travailleuses veulent se faire respecter,
négocier librement, faire respecter les lois
et normes du travail. Ça va tellement mieux
quand il n’y a pas de syndicat, pas
d’arbitrage, pas de négociations, des
comités santé sécurité bien encadrés par les
patrons avec des travailleurs peu formés et
un droit de gérance sans limites.
Pourquoi veulent-ils un vote obligatoire ?
Car si il y a une requête en accréditation,
et qu’un vote a lieu une semaine ou deux
après la requête, et bien ça leur donne
toute l’opportunité, huit, douze ou 16
heures par jour, de parler à LEURS employés
et de leur expliquer, avec l’aide de leurs
avocats les méfaits de la syndicalisation,
de leur expliquer que l’entreprise pourrait
fermer ou déménager dans une autre province
ou un autre pays, de menacer ou même
congédier les militants syndicaux, de créer
la dissension, la méfiance, la crainte, la
dénonciation et l’inquiétude parmi les
employés et leurs familles par ricochet.
Avec comme seul but : Conserver
leur contrôle total sur votre vie au
travail.
Je vous exhorte à en discuter dans vos
assemblées syndicales quelles qu’elles
soient; d’expliquer aux gens que vous
connaissez, votre famille, vos enfants,
pourquoi le système actuel d’accréditation
est adéquat et quels en sont les raisons.
Le processus actuel est très
démocratique, car il nécessite une vraie
majorité (50%+1) des travailleurs et
travailleuses pouvant être affectés et non
pas une majorité des votes de ceux et celles
qui ont votés.
Si vous désirez en savoir plus, et bien,
demandez à ceux et celles qui ont participé
à la syndicalisation dans leur milieu de
travail ou qui ont participé à des campagnes
de syndicalisation.
Syndicalement,
Gilles Brosseau
Coordonateur québécois - AIMTA
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La Marche mondiale
des femmes,un mouvement irréversible
Née en 2000 à l’initiative de la Fédération des femmes du
Québec, la Marche mondiale des femmes est rapidement devenue un
mouvement mondial incontournable. Des millions de femmes, à
travers le monde, ont marché contre la pauvreté et la violence
lors de la première et de la deuxième édition d’actions
internationales, en 2000 et 2005. En 2010, la Marche mondiale
des femmes rallie quelque 4500 groupes provenant de 150 pays et
territoires différents.
Contrat du Gouvernement du Canada pour l'achat du F-35
``Assurons nous que le Québec obtienne l'entretien du
F-35`` David Chartrand
Manifestation du 26 aout 2010
Devant une centaine de membres du Syndicat
des Machinistes, le Président du Conseil des
Machinistes du Québec David Chartrand demande
aux gouvernements de s'impliquer pour attirer
des investisseurs au Canada et au Québec dans le
domaine de l'aérospatiale, comme le font les
Mexicains. Il a ajouté qu'il poursuivra le
combat à tout les niveaux pour garder nos
emplois et pour assurer l'avenir de nos enfants.
Nos gouvernements ne font pas la promotion de
l’industrie aéronautique Canadienne!
Montréal, QC – Des membres de l’Association
internationale des machinistes et des travailleurs et
travailleuses de l’aérospatiale manifesteront dans les
rues de Montréal à compter de 11 :30 heures ce matin
pour dénoncer le manque d’appui des gouvernements
fédéral et provinciaux à l’industrie canadienne de
l’aéronautique.
La manifestation visera principalement le symposium de
l’aérospatiale « Mexico Now » à l’ Hotel Marriot de
Dorval,. La tenue de ce symposium est parrainée par le
gouvernement du Mexique. « Ce symposium démontre
clairement ce qui ne fonctionne pas dans notre industrie
aujourd’hui, explique Dave Chartrand, agent d’affaires
directeur pour le district 11 de l’AIMTA. Alors que le
Mexique fait la promotion de sa propre industrie
aéronautique dans notre cour et invite des entreprises
canadiennes de l’aérospatiale à s’installer au sud de la
frontière, nos gouvernements restent assis sur leurs
lauriers et ne font rien. »
« La survie de l’industrie québécoise de l’aéronautique
en dépend, ajoute M. Chartrand. Bombardier exploite déjà
des installations au Mexique, et on n’a pas besoin d’une
imagination très fertile pour penser que d’autres
entreprises canadiennes séront séduites par les
avantages qu’offre le Mexique, soit des incitatifs
fiscaux et une main-d’œuvre bon marché. » L’industrie
aéronautique emploie plus de 45 000 travailleurs dans la
région de Montréal. Notamment, 13 000 membres des
Machinistes travaillent pour des entreprises comme
Bombardier, Rolls Royce et Messier Dowty.
« Je n’ai rien contre le fait que des Mexicains tentent
de faire la promotion de leur industrie, mais il ne faut
pas que ce soit fait à nos dépens. Nous ferons la
démonstration de notre compétence, de notre expertise et
de notre volonté de lutter pour le maintien de nos
emplois et de notre industrie, affirme M. Chartrand. Je
n’ai qu’une seule question à adresser à nos
gouvernements. Pourquoi ne tiennent-ils pas des
symposiums commerciaux comme celui-ci ailleurs dans le
monde pour inciter plus de sociétés aéronautiques à
s’installer au Québec et au Canada? »
Renseignements :
David Chartrand, agent d’affaires directeur pour le
district 11 de l’AIMTA
514-956-1578 ou 514-914-1677
Bill Trbovich, directeur des communications de l’AIMTA
416-386-1789, poste 6331 ou 416-735-9765
MANIFESTONS POUR DÉMONTRER NOS COMPÉTENCES,
NOTRE EXPERTISE ET NOTRE INTENTION DE NOUS
BATTRE COMME DE FIERS MACHINISTES!
Date: 26 Août
2010
Heure: 11:00
Rassemblement: Centre d’achat Place Côte Vertu Coin
Beaulac et Côte Vertu (stationnement du centre d’achat),
près du Zellers.
C’EST UNE QUESTION DE SURVIE POUR L’INDUSTRIE
AÉROSPATIALE AU QUÉBEC…
L’industrie de l’aéronautique du Mexique,
dont la taille a triplé en cinq ans et qui
ambitionne d’assembler des avions pour
rivaliser avec Seattle, Toulouse, Sao Paulo
et Montréal, est en pleine période de
«recrutement» pour attirer des fabricants
québécois et américains.
Deux événements sous le thème
Mexiconow, présentant les avantages
fiscaux et économiques de s’implanter dans
ce pays d’Amérique latine, auront lieu les
24 août (au Texas) et 26 août (à Dorval).
Cela inquiète vivement le président du
Conseil des machinistes du Québec (14 000
travailleurs) et directeur pour l’AIMTA-FTQ
District 11, Dave Chartrand. Il se promet de
se présenter à cette «conférence» en
compagnie d’un groupe de machinistes
québécois pour lancer un message… aux
gouvernements de Québec et d’Ottawa
«Nos gouvernements restent les
bras croisés»
«Tandis que le
Mexique fait la promotion de son industrie
et tente de soudoyer nos entreprises pour
les inciter à investir dans son pays, nos
gouvernements restent les bras croisés. Nous
avons l’impression que personne, tant à
Ottawa qu’à Québec, ne veille à nos intérêts
pour donner plus de muscle à notre industrie
et pour attirer des entreprises de
l’étranger», confie le syndicaliste en
entrevue à RueFrontenac.
Selon lui, il faut prendre «très au
sérieux» les ambitions du Mexique de devenir
un joueur de calibre dans l’industrie de
l’aéronautique dominée par les géants Boeing
(à Seattle), Airbus (à Toulouse) et
Bombardier (à Dorval, Saint-Laurent et
Mirabel, où on doit assembler les avions de
la CSeries), sans oublier le géant Embraer (à
Sao Paulo).
Le Mexique est encore
loin derrière le peloton mais sa progression
est étonnante.
«Entre 2004 et 2009, le
nombre d’entreprises évoluant dans cette
industrie est passé de 100 à 300, et le
Mexique souhaite assembler des avions, de A
à Z, en misant sur les faibles coûts de
production et les salaires ridiculement bas
consentis aux travailleurs», constate-t-il.
Tentés par l'expérience mexicaine
Bombardier
Aéronautique fait partie des géants de
l’industrie à s’être laissés tenter par
l’«expérience mexicaine». L’avionnerie a des
installations à
Quérétaro, au nord de Mexico, au même
titre que Cessna, Honeywell, GE,Textron et
Pratt & Whitney.
«D’autres
fabricants de notre industrie
pourraient imiter Bombardier pour
tirer profit des avantages fiscaux
et du cheap labor mexicain
si on ne fait rien pour les retenir.
Nous avons bâti au Québec, en
particulier dans la région de
Montréal, une industrie de premier
plan (avec 45 000 emplois, dont
13 000 chez Bombardier
Aéronautique), et nous devons
continuer de l’alimenter en y
greffant de nouveaux joueurs qui
viennent d’ailleurs», insiste Dave
Chartrand Il souhaite voir les
gouvernements «vanter les
compétences et l’expertise» de
l’industrie de l’aéronautique
québécoise.
«Ce n’est pas normal de laisser le
Mexique venir jouer dans notre cour pour
tenter de soudoyer nos propres entreprises
dans une grande séduction qui n’a pour but
que de transférer des emplois de qualité,
bien rémunérés. Les salaires pratiqués chez
nous sont plus élevés et il ne faudrait pas
que ça devienne un argument pour transférer
une partie de la production à l’étranger»,
tient à préciser le président du syndicat.
La valeur de
l’action augmente de 9,5 % grâce à un
bénéfice net record et
le nombre d’actionnaires atteint un sommet
Montréal,
le 5 juillet 2010 -
Au cours du dernier exercice financier,
terminé le 31 mai 2010, les
actionnaires-propriétaires du Fonds de
solidarité FTQ ont bénéficié d’une hausse de
9,5 % de la valeur de l’action, qui est
passée à 23,84 $, une hausse de 2,06 $ par
rapport à juillet 2009, et de 0,33 $ par
rapport à janvier 2010. Au terme de cet
exercice, le Fonds enregistre un bénéfice
net record de 600 millions de dollars et son
actif net atteint 7,3 milliards de dollars.
« Voilà un bilan financier réjouissant, a
soutenu Michel Arsenault, président du
conseil d’administration du Fonds de
solidarité FTQ et président de la FTQ.
Premier constat : 577 511 travailleurs sont
actionnaires du Fonds, un record qui nous
confirme à quel point les Québécoises et les
Québécois lui font confiance. Deuxième
constat : nous avons émis pour 660 millions
de dollars d’actions, une augmentation par
rapport à l’an dernier. Autre constat : le
Fonds a continué de faire preuve d’une
grande rigueur en abaissant son ratio des
charges totales d’exploitation de 0,2 % par
rapport à celui de l’exercice précédent; ce
ratio atteint maintenant 1,5 %. »
« La gestion dynamique de notre portefeuille
en capital de développement et la solidité
de nos partenaires privés nous ont permis
d’atteindre un
rendement de 11,0 % pour ce secteur qui
représente l’activité principale
d’investissement du Fonds. Notre
portefeuille dit de placements, qui vise à
assurer une saine diversification de nos
actifs financiers, a, pour sa part, obtenu
un rendement de 11,2 %, profitant de la
reprise des marchés boursiers et de la
réduction des écarts de crédit. Ce bilan
annuel est très satisfaisant et positionne
le Fonds comme un levier incontournable pour
la croissance des entreprises », a affirmé
Yvon Bolduc président-directeur général du
Fonds de solidarité FTQ. « Nos
professionnels et ceux de nos fonds
régionaux et locaux ont permis à près de 300
entreprises québécoises de bénéficier de
notre appui. Avec les 501 millions de
dollars investis par le Fonds au cours du
dernier exercice, nous maintenons notre
position de leader en capital de
développement au Québec », a conclu M.
Bolduc.
Un REER
rentable
Dans un contexte où le taux d’épargne des
Québécois diminue d’année en année, la
mission du Fonds demeure plus que jamais
fondamentale. Le Fonds est fier de compter
sur l’apport inconditionnel de son réseau de
près de 2 050 responsables locaux, qui
démontrent aux travailleuses et aux
travailleurs à quel point le REER du Fonds
constitue un produit d’épargne-retraite
intéressant et rentable. Par exemple, en
incluant les crédits d’impôt, un actionnaire
du Fonds qui a investi le même montant
chaque année sous forme de prélèvements sur
la paie, obtient un rendement composé annuel
de 11,5 % sur 7 ans et de 7,8 % sur 10 ans.
7
ans
10
ans
Rendements composés annuels à
l’actionnaire, incluant les crédits
d’impôts
*
11,5 %
7,8 %
*Ces
rendements ne tiennent pas compte des
déductions fiscales relatives au REER.
Le plus
important investisseur en capital de risque
et de développement au Québec
Au cours du dernier exercice, pas moins de
71 nouveaux partenaires se sont joints au
Fonds et à ses fonds régionaux. Et le Fonds
reste fidèle à sa mission d’appui à la
croissance des PME, puisque plus de 82 % des
entreprises partenaires du Fonds et de ses
fonds régionaux ont moins de 100 employés.
Le Fonds de solidarité FTQ, incluant
l’ensemble de son réseau, compte désormais 2
052 entreprises partenaires, contribuant
ainsi à créer, à maintenir et à sauvegarder
près de 181 000 emplois au Québec.
Consolider
les activités d’entreprises phares au Québec
Au cours du dernier exercice financier,
plusieurs PME ont consolidé leurs activités,
notamment en faisant des acquisitions
stratégiques grâce à des investissements du
Fonds d’une valeur de 123 millions de
dollars. Par exemple, dans le cadre de
l’acquisition d’une société américaine, 30,8
millions de dollars ont été investis dans
Stella-Jones
qui produit, entre autres, des traverses de
chemin de fer.
GLV,
un fournisseur international de solutions
technologiques pour le traitement des eaux,
a obtenu 38,5 millions de dollars pour faire
l’importante acquisition d’une société
autrichienne.
Premier Tech,
spécialisée dans l’agriculture et
l’horticulture, les équipements industriels
et les technologies environnementales, a
profité d’un investissement de 10 millions
de dollars du Fonds pour faire l’acquisition
d’une société ontarienne. La transaction
visant l’acquisition d’une participation
majoritaire dans Shermag par le
Groupe Bermex,
a mené à un investissement de 6 millions de
dollars du Fonds.
Offrir des
solutions d’affaires flexibles
Soutenant les PME face à leurs enjeux, le
Fonds et les 16 fonds régionaux de
solidarité FTQ ont mis en place des
solutions de financement adaptées à leurs
besoins. La Solution Compétitivité, par
exemple, offre une grande flexibilité
notamment en proposant des moratoires sur
les remboursements. L’entreprise
Scierie Dion & Fils,
spécialisée dans le sciage de feuillus et de
résineux, en a profité dans le cadre d’un
investissement de 8 millions de dollars qui
lui permettra d’accroître sa productivité et
d’acquérir de nouveaux équipements pour
mettre en place une nouvelle chaîne de
sciage. Les fonds régionaux, pour leur part,
ont proposé à leurs partenaires deux
nouvelles solutions qui offrent une
réduction de taux d’intérêt selon l’atteinte
des objectifs d’affaires : le Prêt
Stabilisation et le Prêt Performance.
Contribuer
à dynamiser le secteur du bois et du meuble
Contribuant à consolider les emplois dans un
secteur encore perturbé, le Fonds a investi
pas moins de 68 millions de dollars dans le
secteur du bois et du meuble au cours de son
dernier exercice financier. En outre, un
investissement de 15 millions de dollars a
permis à
Fortress Paper
de rouvrir l’usine de pâte à papier de
Thurso et de rappeler près de 300 employés.
Le Fonds a aussi investi 5,5 millions de
dollars dans les projets d’expansion de
Foliot Management,
une entreprise du secteur du meuble pour
résidences d’étudiants.
L’industrie forestière a aussi bénéficié de
l’appui du Fonds par le biais de
Solifor
(Société de gestion d’actifs forestiers
Solifor s.e.c.), qui a fait l’acquisition de
trois nouvelles propriétés. Ce fonds
d’investissement, créé par le Fonds de
solidarité FTQ et dans lequel il a investi
150 millions de dollars, détient 157 000 ha
d’actifs forestiers. Il a pour mandat de
financer l’acquisition de terres
forestières, d’en maintenir la propriété au
Québec et d’assurer le développement durable
des forêts.
Exercice terminé
le
31 mai 2010
Exercice terminé
le
31 mai 2009
Actif
net (en millions $)
7
294
6
375
Produits (en millions $)
222
239
Bénéfice net (perte nette) (en
millions $)
600
(919)
Rendement du Fonds
9,2 %
(12,6 %)
Actif
net par action (en dollars)
23,84
21,78
Progression de la valeur de l’action
(diminution)
9,5 %
(13,1%)
Les membres de l’Association
technique de Metso Minerals
se sont prononcés en faveur
de l’offre patronale
Les points saillants de la nouvelle entente sont :
Amélioration de la prime équipe à $1.10 pour le quart de
soir et de $1.35 pour le quart de nuit.
Souliers de sécurité payés 100%
IPC (Cola) deux fois par année avec une amélioration
(hausse) au niveau du taux (0.066 au lieu de 0.135)
Augmentation de salaire: 0%; 1.0% et 1.5%
Durée de la convention: 1er octobre 2009 au 30 septembre
2012
Maintien et amélioration du Régime de retraite. Hausse
du paiement pour long état de service à 10$, nombre de
versement passe à 120, amélioration du pourcentage pour
rente au conjoint survivant.
Ajout d’un 5e congé flottant
Yves Raymond
Agent d'affaires
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Les membres de la section locale 1660 acceptent
des offres du nouvel acquéreur Metso Minerals
Les membres réunis en assemblée
acceptent les offres patronale.
<<Beaucoup de modifications ont été apporté à la
convention collective à cette négociation pour refléter
le nouveau produit que nos membres auront à produire
pour les années futures>> dit l’Agent d’affaires Denis
Longtin.
Metso Minerals est l’acheteur d’une partie de l’usine de
G.E. Hydro et qui fabrique des pièces pour le secteur
minier.
Les discussions se sont concentrées principalement sur
la réorganisation du travail et le contenu de certaines
occupations.
<<Bien que déçu de la portion des augmentations
de salaires nos membres ont pris en considération la situation
économique actuelle et ont quand même accepté les offres de
l’Employeur dans une proportion de 80%. Ils ont tenu compte des
autres améliorations tel que le maintient des avantages sociaux,
régime de retraite, ajustement de coût de vie chère.>> explique
l'Agent d'affaires Denis Longtin
Les augmentations salariales seront de 2.5% réparti sur trois
ans.
Autres améliorations à souligner est l’article concernant le
paiement et prise de vacances pour les membres en maladie où
accident de travail et une journée de congé supplémentaire.
En terminant l’Agent d’affaires Denis Longtin remercie les
membres du comité pour leur travail lors de cette négociation et
le temps qu’ils y ont consacrés.
Montréal accepte et Québec rejette les offres
de Avery Weigh-Tronix
Montréal
Les membres de la Section Locale 1660 Atelier – Montréal ont
acceptés à 58% une nouvelle Convention collective d'une durée
d'un an avec Avery Weigh-Tronix .
Les gains obtenus:
Chaussures de sécurité : de 150 $ à 160 $ (+ 10 $);
Lunettes : 100 %, maximum de 600 $ (+ 350 $);
Contribution patronale à l’assurance collective : passe de 28 $
à 30 $ par mois (+ 2 $);
Prévision pour payer les jours fériés s’ils surviennent dans les
trente (30) jours de la mise à pied (récupération).
Québec
Par contre les membres de Avery Weigh-Tronix – Service – Québec
rejettent l’offre patronale à 100% et vote en faveur de la grève
à 100%.
Point en litige:
Parité salariale avec les confrères de Montréal
Yves Raymond
Agent d'affaires
Collecte de sang de l'AIMTA : un succès!
Le 19 mars dernier avait lieu la 4e collecte de sang annuelle de
l’AIMTAen collaboration avec Héma-Québec.
Contrairement aux années passées, celle-ci se déroulait pendant
une seule journée au centre commercial Place Vertu à ville
St-Laurent.
Cette journée fut couronnée de succès, puisque 140 donneurs ont
répondu à l’appel! Comme chaque don peut aider jusqu’à quatre
personnes, c’est donc 560 patients qui pourront recevoir des
produits sanguins grâce aux généreux donneurs qui ont à cœur le
bien-être de personnes moins chanceuses.
Nous tenons à souligner la participation de plusieurs bénévoles,
dont des membres des sections locales 1751, 712, 1660 et 869,
ainsi que l’appui inconditionnel du district 11.
Nous voulons faire en sorte que cet évènement social et
humanitaire revienne chaque année afin de démontrer que le
mouvement ouvrier est impliqué de façon importante dans notre
société.
Merci encore une fois à tous ceux et celles qui ont participé de
près ou de loin à cet évènement annuel.
Denis Yelle
Robert Savoie
Coordonnateur national du PAE
Recruteur
District 140
District 140
Comme à toutes les années au mois de mai, la Journée
Internationale des travailleurs sera soulignée par une
marche dans les rues de Montréal, Organisé par le
Conseil Régional Montréal Métropolitain FTQ.
Un rassemblement aura lieu sur la colline Parlementaire
à Québec à compter de 0 h 01 le 28 avril pour se
remémorer nos consœurs et confrères disparus ainsi que
pour dénoncer le laxisme dont les employeurs et le
gouvernement ont fait preuve dans la prévention des
lésions professionnelles. Suivra un point de presse par
les dirigeants de la FTQ. Le tout devrait se terminer
vers 10 h, le 28 avril 2009.
Le Conseil régional FTQ Montréal métropolitain vous
convie pour 23 h 45, devant la Tour FTQ, située au 565,
boulevard Crémazie Est à Montréal, dans la nuit du 27 au
28 avril.
Utilisez le transport en commun pour vous rendre à la
Tour FTQ. La station Crémazie est à deux pas de la FTQ.
Deux autocars seront nolisés pour se rendre à Québec
afin que nous puissions joindre les manifestants de la
région qui seront déjà sur place dès minuit. Pour vous
joindre à cette activité, vous devez vous inscrire le
plus tôt possible, en appelant au Conseil au 514
387-3666. La date limite pour l’inscription est le jeudi
23 avril 2009, avant 17 h.
Nous souhaitons vous y voir très nombreux et nombreuses.
Les membres de la section locale
1660 prolongent l'entente avec Échantillon Dominion
Réunis en assemblée générale jeudi le 12 mars 2009, les membres
travaillant chez Échantillon Dominion ont acceptés à 62% l'offre
patronale prolongeant la convention collective de 3 années et le
mémoire d'entente sur la main d'œuvre complémentaire.
Le contrat de travail est d'une durée de 5 ans et inclus des
augmentations salariale de 16.5% pour la durée de l'entente.
Bonis de réouverture de la Convention Collective et ce par
ancienneté.
20 ans et plus $400
10 ans à 19 ans $250
5 ans à 9 ans $150
1 an à 4 ans $100
Une prime de fidélité de $100 s'ajoute à la date anniversaire de
la signature en 2011.
Main d'œuvre complémentaire
Un plancher d'emplois permanents est augmenté à 70 membres et
devient le personnel de base, tel qu'établit à l'annexe 5.
L'employeur pourra utiliser un maximum de 40% de main d'œuvre
complémentaire la 1ere année, par la suite ce maximum s'établira
à 35%. Cette main d'œuvre est syndiqué.
"La présente entente est en fonction de la création d'emplois et
l'acquisition et installation de nouveaux équipements de
production et l'agrandissement de la superficie de l'actuel
établissement." nous dit Pierre Brisebois agent d'affaires
Cette entente est nécessaire afin de maintenir et créer de
nouveaux emplois au Québec.
Un gros merci pour l'excellent travail du comité de négociation:
Gloria - Oscar - Richard
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Le remaniement imposé par l’ALENA
Près de 15 ans après l’entrée en vigueur de l’Accord de
libre-échange nord-américain (ALENA), la récession mondiale
expose une nouvelle dimension du controversé accord commercial.
Le chômage monte en flèche au Mexique, où des entreprises
manufacturières ferment leurs portes et déménagent à l’étranger
pour réduire leurs frais et trouver de la main-d’oeuvre encore
moins coûteuse. Ça sonne une cloche?
De récentes statistiques démontrent que l’économie mexicaine est
en miettes et que les travailleurs automobiles et manufacturiers
connaissent un sort similaire à celui réservé à des dizaines de
milliers de travailleurs canadiens et américains dont l’emploi a
été exporté vers le sud après l’entrée en vigueur de l’ALENA.
Plus de 500 000 travailleurs mexicains ont perdu leur emploi
manufacturier depuis novembre 2008, et le taux de chômage
officiel a atteint 4,3 %. En réalité, ce taux est beaucoup plus
élevé étant donné que le gouvernement du Mexique exclut du taux
de chômage quiconque travaille aussi peu qu’une heure par
semaine.
Maintenant que le chômage franchit des sommets mois après mois
au Canada et aux États- Unis, les travailleurs canadiens et
américains seront peu enclins à sympathiser avec ceux du Mexique
qui ont perdu un emploi qui revenait jadis au nord de leur
frontière, mais tous les travailleurs nord-américains partagent
maintenant quelque chose en commun outre une ancienne occupation
similaire: Ils sont tous victimes de l’ALENA.
La migration d’emplois manufacturiers canadiens et américains
vers le Mexique avait initialement été jugée nécessaire pour
servir de tremplin au développement de nouvelles industries dans
les trois pays partenaires. Cependant, maintenant que les
entreprises cherchent à quitter le Mexique pour la Chine, la
Corée du Sud et l’Indonésie, il est tout aussi evident que
l’ALENA peut très bien reprendre ce qu’il peut donner.
Au fil des années, les travailleurs d’un pays après l’autre ont
souffert de l’ALENA. La question qui s’impose maintenant n’est
pas de savoir qui perd, mais bien d’établir s’il y a de
véritables gagnants.
N'achetez plus le journal
informez vous au site: ruefrontenac.com Pour les
dernières nouvelles
Comme vous le savez maintenant, le
Journal de Montréal a mis ses travailleurs en lock-out.
Les travailleurs ont mis sur pied un site web qui donne
l'information de l'actualité, au même titre qu'ils le
faisaient quand ils travaillaient au Journal, avec le
même professionnalisme.
Au lieu d'acheter le Journal de Montréal pour vous
informez quotidiennement, aller vous informez sur le
site
ruefrontenac.com.
Vous aurez toutes les nouvelles et il ne vous en
couteras rien. Ce geste démontrera notre support à ces
travailleurs de l'information.
253 membres du Syndicat de l'information du Journal de Montréal
à la rue.
Comme vous le savez sans doute, le Roi des lock-out (13 lock-out
en 14 ans), Pierre K. Péladeau, a jeté les 253 membres du
Syndicat des travailleurs de l’information du Journal de
Montréal à la rue, tout comme il l’a fait avec les travailleurs
et les travailleuses de Vidéotron (SCFP-FTQ) et plus récemment,
avec ceux et celles du Journal de Québec (SCFP-FTQ); ces
conflits ont duré plus d’un an chacun.
Vidéotron est en négociation présentement et il faut se méfier
de Péladeau qui ne connaît qu’une façon de négocier, et ce, par
lock-out. Nous avons tout intérêt à unir nos forces et à
combattre ensemble cet employeur méprisant. Les syndiqués de la
CSN et d’autres centrales nous ont concrètement appuyés lors du
lock-out de Petro-Canada et c’est à notre tour d’être solidaire.
Le Bureau de direction du Conseil vous invite à appliquer les
mesures suivantes :
• De ne plus acheter le Journal de Montréal;
• D’annuler votre abonnement au Journal;
• De ne plus acheter de petites annonces, ni aucune autre
publicité;
• De ne pas accorder d’entrevues ni de tolérer la présence de
représentants du Journal de Montréal, de Canoë ou du 24 heures à
vos conférences de presse;
• De n’accorder aucune entrevue aux « chroniqueurs » qui
continuent de collaborer au Journal (Martineau, Facal, etc.);
• De faire connaître ce conflit autour de vous.
Les conflits chez Vidéotron, au Journal de Québec et chez
Petro-Canada nous ont appris que contre ces empires financiers,
la seule façon de gagner est que tous les syndiqués et toutes
les syndiquées se tiennent et livrent ensemble la bataille.
Les membres de la Section Locale 1660 acceptent les offres de
ABB Lachine
Le 17 décembre 2008,
Les membres de la Section Locale 1660 ont été appelés en
assemblée générale extraordinaire à se prononcer sur les offres
déposés par ABB Lachine.
Après présentations et explications par le comité de négociation
des offres patronales, les membres ont été appelés à voter par
scrutin secret sur ces offres.
Les membres ont acceptés les offres à 88%.
Les changements importants à la convention collective:
Entente de 3 ans
Augmentations salariales de 3% par année soit 9% pour la durée
de la convention
Boni de signature
Nouvelle classification ``Assembleur``
Création d'un horaire d'été
3 jours de maladie payés à 80% (Si jours pas utilisés durant
l'année les jours seront payés à 130%)
Félicitation au comité de négociation pour leur bon travail.
Machinistes présents au rassemblement pour supporter la
coalition au palier fédéral
6 décembre 2008
Plusieurs syndicalistes dont les machinistes étaient
présents au rassemblement pour supporter la coalition
entre le parti Libéral, NPD et appuyé par le Bloc
Québécois pour remplacer le gouvernement Harper
(Conservateur) suite à son énoncé en chambre.
Les 3 partis on conclus un pacte pour que le Canada est
une stabilité politique et s'occuper en priorité de la
crise économique qui frappe le Canada et qui pourrait
être pire dans les prochains mois.
Le Vice-président Général Canadien de l'AIMTA Dave
Ritchie demande à tous les machinistes de supporter
cette coalition pour le bien être de tous les
travailleurs canadiens.
Un nouveau gouvernement de
coalition
Le 30 novembre 2008
Destinataires : Sections locales et permanents au Canada
Expéditeur : Dave Ritchie, VPG
Après avoir imposé aux Canadiens une élection en octobre, au
coût de près de 300 millions de dollars, le gouvernement
conservateur de Stephen Harper se montre incapable de gouverner.
Au lieu de se concentrer sur répondre aux besoins de la
population canadienne, de renverser le déclin économique, de
stimuler notre économie et de créer des emplois, le gouvernement
Harper a préféré concocter une attaque cynique et partisane
contre les travailleurs et les collectivités.
En réponse à cette attaque, il y a fort à parier que le
gouvernement conservateur minoritaire sera défait par un vote de
confiance qui se tiendra le 8 décembre. Un nouveau gouvernement
de coalition serait alors formé par les libéraux et les
néo-démocrates, avec l’appui du Bloc Québécois. Cette coalition
représenterait une majorité de Canadiens et nous offrirait la
possibilité de nous attaquer aux problèmes économiques et de
reprendre les commandes de notre gouvernement
Sans doute, les conservateurs monteront une campagne désespérée
pour rester au pouvoir. Au cours de la semaine prochaine, le
Congrès du travail du Canada se joindront à de nombreux autres
groupes pour mobiliser les appuis à cette coalition. Il y aurait
d’importants rassemblements dans les grandes agglomérations, une
campagne de sensibilisation du public et des programmes visant à
assurer que les membres de la députation fédérale saisissent
bien la position du peuple canadien.
Je vous demande de nous aider à mobiliser les membres de l’AIM
afin qu’ils participent à cette campagne qui vise à protéger
notre avenir. Le bureau canadien vous transmettra d’autres
renseignements au cours des quelques prochains jours.
J’espère pouvoir compter sur votre appui et votre pleine
participation.
Dave Ritchie, VPG
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Une rencontre a eu lieu le 28 octobre 2008. Le
sujet principal à l’ordre du jour était :
La réforme du régime de rente du Québec.
Comme je l’ai mentionné dans mon dernier rapport, le
gouvernement du Québec a l’intention de déposer un projet de
réforme du régime des rentes du Québec (R.R.Q). Deux objectifs
sont visés.
Le premier est une augmentation des taux de cotisations et le 2
ième une réduction des bénéfices.
Pour faire suite au projet de réforme, la Régie des rentes du
Québec effectue présentement des consultations privées avec tous
les intervenants des milieux patronal, financier et syndical.
Les syndicats, dont la FTQ, ont été invités à une rencontre le
27 octobre afin de donner leur point de vue sur les changements
proposés dans le document de consultation de 69 pages, intitulé
« Vers un Régime de rentes du Québec renforcé et plus équitable
» que l’on peut consulter sur le site Web de la R.R.Q.
http://www.rrq.gouv.qc.ca/NR/rdonlyres/1AA39F77-4714-4795-A3F8-7B13F8B268E0/0/consultation_2008.pdf
En bref, le document propose une quinzaine de changements « des
pistes de solutions » que vous pouvez retrouver à la page 53 du
document, dont voici les principaux :
• La Régie veut combler un écart de 0,8%. Pour ce faire, elle
propose : premièrement d’augmenter le taux de cotisation de 9,9%
à 10,4% à partir de 2011, à raison de 0,1% par année, pour une
hausse totale de 0,5 point de pourcentage et 2 ièmement de
réduire les bénéfices de 0,3%
• Changer le calcul de la rente de retraite ce qui entrainera
une perte maximale de 10% de plus pour un total de 40% pour
celles et ceux qui prennent leur retraite anticipée à 60 ans.
Présentement la pénalité est de 6% par année pour un maximum de
30%.
• Par contre la Régie éliminerait la condition de cessation de
travail pour pouvoir demander sa rente avant 65 ans, c.-à-d., de
permettre aux travailleuses et travailleurs de demander leur
rente de retraite avant 65 ans, tout en demeurant à l’emploi du
même employeur et ce, même sans entente de retraite progressive.
• Hausser la rente de retraite de 0,5% à 0,7% par mois pour une
personne qui diffère sa retraite au-delà de 65 ans.
• Éliminer la définition souple de l’invalidité pour les
cotisants âgés de 60 à 64 ans c.-à-d. incapables d’occuper leur
emploi habituel, pour la remplacer par invalidité totale.
Nous connaitrons peut être la prochaine étape après les
élections, à suivre.
Jeudi 8 octobre 2008,
Réunis en assemblée générale, les membres de la Section Locale
1660 ont acceptés à 78% la dernière offre de Robco.
Le contrat de travail est d'une durée de 5 ans et comporte des
augmentations générales de 3% par année, rétroactivement au 1er
février 2008.
En plus du salaire voici d'autres gains réalisés durant cette
négociation:
- Améliorations apportées à la procédure de grief
- Des prévisions en santé sécurité
- Le taux d'embauche est passé à $11.00 hres
- L'allocation des repas passera de $10.30 à $14.50
s'échelonnant sur la durée de la convention.
- Les primes d'équipes ont aussi été améliorées par une hausse
de $0.10 hre.
- Une prévision d'éloignement a été ajouté au congé de décès,
une journée payée et la possibilité de reporter une ou des
journées pour activités reliés au décès.
- L'assurance vie a été doublée à $36,000.
Les membres ont massivement appuyé le comité de négociation.
Après avoir rejeté la première proposition dans une même
proportion les membres ont reconnue l'excellent travail de leur
comité de négociation, Oscar Moscayza et Alain Massé, en
entérinant cette proposition de l'employeur.
Bravo au comité pour leur excellent travail.
Bravo aux membres pour leur excellent support.
Le 2 septembre 2008
Les membres de la Section Locale 1660 ont rejeté la proposition
de la compagnie Robco.
Les membres ont rejetés la proposition de 5 ans après
explications et discussions.
Le tout se déroulant dans le respect et le calme.
C’est donc par un vote très majoritaire de 75% que la
proposition patronale a été rejetée.
Les parties devraient se rencontrer à nouveau pour dénouer
l’impasse.
Soupir de soulagement pour les 450 travailleurs syndiqués de GE
Hydro, à Lachine : l’entreprise, qui devait fermer ses portes à
la fin de juin, vient d’être vendue à un groupe
austro-finlandais qui se dit prêt à poursuivre les activités
manufacturières.
« C’est un heureux dénouement », a reconnu hier au Journal de
Montréal le permanent syndical au dossier, Denis Longtin.
GE Hydro avait fait part au syndicat, en septembre 2007, de son
projet de fermer l’usine de turbines à proximité de l’autoroute
20.
Toutefois, au cours des dernières semaines, le syndicat avait
été informé que des négociations avec des acheteurs semblaient
évoluer positivement.
Ce sont finalement deux acheteurs - Andritz Va Tech Hydro
(Autriche) et Metso (Finlande) - qui ont conclu la transaction
avec GE Hydro.
L’usine se spécialisera dans la fabrication de broyeurs et de
concasseurs pour l’industrie minière.
« Les nouveaux propriétaires ont rencontré les travailleurs. On
a appris que Metso s’occupera de l’usine, tandis qu’Andritz se
concentrera sur le laboratoire et la recherche et développement
», a précisé Denis Longtin, du syndicat des machinistes (AIMTA-FTQ).
30 $ de l’heure
Les travailleurs - qui gagnent jusqu’à 30 $ de l’heure - ont, en
moyenne, 45 ans.
« Ce sont de très bons emplois. On s’attend à ce que les
nouveaux propriétaires sachent redonner un nouveau dynamisme aux
vieux bâtiments (l’usine est à Lachine depuis plus de 89 ans) »,
fait valoir le leader syndical.
Les termes de l’entente - entre GE Hydro et les acquéreurs -
sont gardés confidentiels. La transaction devrait être
« finalisée à 100 % » d’ici à la fin d’août, selon le syndicat.
Rappelons que GE Hydro avait informé ses employés, dont 250 à
l’usine, qu’elle cessait ses activités après l’expiration des
contrats de turbines hydroélectriques pour les grandes
centrales.
Hydro-Québec
GE Hydro, qui appartient au groupe américain General Electric, a
fabriqué plus de 50 % des turbines pour Hydro-Québec, pour les
barrages de la baie James.
L’usine a construit, en outre, des turbines hydroélectriques
pour la Chine (la centrale des Trois-Gorges) et la Californie.
Or, selon le permanent syndical, Denis Longtin, « c’est en
partie la décision d’Hydro-Québec de faire affaire avec des
équipementiers du Brésil et du Mexique (pour ses turbines) qui a
causé la perte de l’usine de Lachine ».
« On peut questionner l’attitude d’une société d’État qui achète
au Brésil, alors que nos usines ont toutes sortes de difficultés
», a-t-il tenu à préciser.
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Vendredi 6 juin 2008
Les membres de l’unité de Metso de St-Laurent , appartenant à la
section locale 1660 ont accepté les offres de l’Employeur.
La nouvelle convention collective sera d’une durée de 4 ans avec
des augmentations salariales au-delà de 11%.
En plus , l’agent d’affaires Denis Longtin nous a mentionné que
les membres avaient obtenue des améliorations au niveau de:
Bénéfices lors de cessation d’emploi
Primes d’équipes
Vacances.
Le 30 avril 2008.
Les membres de la Section Locale 1660 se sont réunis en
assemblée extraordinaire pour se prononcer sur l'offre de ABB
St-Laurent considéré finale.
Après explications par l'agent d'affaires Alain Rouleau des
changements apportés dans la nouvelle offre, les membres ont été
appelés aux urnes.
L'offre a été accepté par une forte majorité des membres.
Les gains obtenus:
Contrat de 3 ans: augmentation de 3% par année du contrat pour
un total de 9% pour la durée de la convention collective.
Vacances: 20 jours de vacances après 9 années de service. Aucune
fermeture d'usine pour la période de vacances. Les membres
devront choisir deux semaines consécutives et l'excédent s'il y
a lieu pourront être prises une journée à la fois.
Horaires de travail: Les membres débuteront leur quart de
travail 10 minutes plutôt.
Heure banqué: 40 heures cumulables. Pourront être pris par
tranche de 8 ou 4 heures.
Augmentation d'indemnité de repas.
Augmentation de l'indemnité de cessation d'emploi. 1 semaine 1/2
du taux de base pour chaque année de service pour une fermeture
totale ou partielle(nouveau)
Le 2 avril 2008
Les membres de la Section Locale 1660 ce sont réunis en
assemblée générale pour ce prononcer sur les offres de ABB
St-Laurent.
Le comité de négociations ce compose de:
Alain Rouleau Agent d'affaires
Ginette Dugas Présidente du comité d'usine
Alain Bellefeuille délégué d'usine
Alain Rouleau a passé la proposition article par article en
expliquant aux membres les changements apportés à la nouvelle
convention collective proposée.
Après une période de questions, les membres ont voté sur les
offres de l'employeur.
Les membres ont décidés de refusés ces offres unanimement (100%)
Les points en litiges:
Aucune rétroactivité prévue
Nouveau calcul pour le temps supplémentaire
Baisse du pourcentage du paiement de l'assurance maladie
Le comité rencontrera les représentants de l'employeur dans les
jours qui suivent pour essayer d'arriver à une entente.
FÊTE INTERNATIONALE DES TRAVAILLEUSES
ET DES TRAVAILLEURS
GRANDE MARCHE A MONTRÉAL
THÈME: ENSEMBLE POUR LA SANTÉ
QUAND: 3 MAI 2008
OU: AU PARC LAFONTAINE
HEURE: MIDI
Soyons en grand nombre et démontrer au
gouvernement que nous voulons garder notre système de
santé publique
Inviter votre famille et vos amis à ce joindre à nous.
Ne permettez pas GE Hydro
de délocaliser 240 emplois vers le Brésil
La direction de GE Hydro, une division de la multinationale
Générale Électrique, a décidé de délocaliser vers le Brésil ses
opérations manufacturières d'équipements hydro électrique ainsi
que son laboratoire de recherche.
Cliquez ici pour
envoyer un lettre à votre député(e) fédérale et aux trois chefs
des partis politiques au Québec.
LA FTQ DEMANDE DE BOYCOTTER PETRO CANADA
Ne pas acheter l'essence Pétro Canada
Montréal, le 26 novembre 2007.
La compagnie Pétro Canada ¨Raffinerie de Montréal¨ a mis en
lock-out, les (260) confrères et consœurs de travail membre de
la Section locale 175 SCEP-FTQ.
Pétro Canada s'acharne à briser le (pattern) établi par le SCEP
dans l'industrie (sur la durée de la convention collective, les
augmentations salariales et les primes d'équipe)
Pétro Canada veut retirer des droits syndicaux acquis quant au
représentant en prévention et ceux du président du syndicat
Pétro Canada veut imposer un programme de formation
excessivement rapide au terme duquel un salarié peut perdre son
emploi advenant un échec à l'une ou l'autre étape du programme
et cela, sans tenir compte de la sécurité
Pétro Canada veut permettre les mouvements de personnel à sa
guise seulement
Pétro Canada veut diminuer les droits des travailleurs et des
travailleuses en regard de l'horaire et l'assignation des tâches
Pétro Canada refuse toute demande syndicale
Les travailleurs et travailleuses sont déterminés à résister à
cette étape frontale de Pétro Canada
NOUS DEMANDONS À VOUS TOUS ET À VOS PROCHES DE NE PAS ACHETER DE
L'ESSENCE CHEZ Pétro Canada TANT ET AUSSI LONGTEMPS QUE LE
CONFLIT NE SERA PAS RÉGLÉ
En solidarité avec les travailleuses et travailleurs de la
Section locale 175 SCEP-FTQ
Fermeture de l'usine de GE à Lachine
En vidéo, la réaction de Claude Dauphin qui est maire de
l'arrondissement Lachine où se trouve l'usine.
LES MEMBRES DE LA SECTION LOCALE 1660 ÉCHANTILLON DOMINION
ACCEPTENT UN CONTRAT DE 5 ANS
En assemblée, mercredi le 2 mai, 2007 les membres de la Section
Locale 1660 ont acceptés les offres d'Échantillons Dominion.
Voici les grandes lignes du nouveau contrat de travail d'une
durée de 5 ans.
10 personnes progressent à une classification supérieure
0.75$ l’heure pour la prime de la 3è équipe
un nouveau comité de relations de travail formé pour régler le
harcèlement et les plaintes
5 semaines de vacances pour les gens ayant 21ans et plus
d’ancienneté
un contrat de 5 ans – 4% - 3.50% - 3% - 3% - 3% (pleine
rétroactivité)
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Nouvelle convention pour les membres de la SL 1660 travaillant
chez Weigh-Tronix (atelier)
Les membres ont accepté, par un vote majoritaire (75%), la
proposition patronale pour le renouvellement de leur convention
collective. La nouvelle convention prévoit: Des hausses
salariales de 2.5% pour chacune des deux années de la durée de
la convention collective. Les montants prévus pour l’achat de
souliers de sécurité et de lunettes ont été augmentés.
Une prévision importante a été négociée concernant le paiement
de la cotisation au régime d’assurance collective lors
d’invalidité ou de mise à pied des membres pour une durée de 24
mois. La part de l’employeur sera payée en autant que les
membres maintiennent la leur.
Augmentation de la prime de Chef de groupe ainsi que l’ajout de
primes pour superviseur soudage et opérateur de machine
automatisée. Dernier point d’amélioration, l’employeur achètera
un manteau d’hiver pour les membres utilisant un chariot
élévateur et ayant à aller dans la cours.
Félicitations au comité!
Manif d'appui aux employés de Goodyear
Les Machinistes et plusieurs autres syndicats présents à la
manifestation d’appui aux travailleurs et travailleuses de la
Goodyear organisée par la FTQ, samedi le 3 février 2007 au Parc
Sauvé de Valleyfield.
La manifestation avait pour but de protester contre la fermeture
de l’usine et de revendiquer un plan de relance pour sauver les
800 emplois.
Le rassemblement fut suivi d’une marche dans les rues de la
ville. Nous tenions tous à leurs démontrer notre solidarité, car
tous nous ne sommes pas à l’abri de telles décisions. On a qu’à
penser au transfert de travail de Bombardier vers le Mexique, à
l’intention d’Air Canada de transférer la maintenance de ses
Airbus en Amérique du Sud et aux travailleurs de G.E. confrontés
à la compétition chinoise etc.
Félicitation a Cédric Poulin qui devient le nouveau
Secrétaire-Archiviste pour la section locale, élus par
acclamation lors de l'assemblée de mardi le 19 septembre.
Le personel technique de GE Hydro a décidé de joindre les rangs
du local 1660, qui représente les membres de l'usine ainsi que
les gardiens. Nous leurs souhaitons la bienvenue au sein du
local 1660.
Le 31 août la section locale 2133 a fusionné avec notre section
locale, qui représente les 48 employées de Peerless Electric.
Nous leurs souhaitons la bienvenue au sein du local 1660
A tous les membres
intéressés à un poste à l’exécutif de la Section Locale nous avons
présentement un poste disponible suite à la démission du
secrétaire archiviste pour plus d’information communiqué avec la
Section Locale.
Le 27 juin dernier, les travailleurs d’Alstom Power avaient rejeté une
première offre, l’employeur exigeait des concessions importantes
touchant le régime d’assurances collectives et le calcul des heures
supplémentaires, les membres étaient déterminés, pas question de toucher
à ces acquis !
Le comité de négociation est retourné à la table avec un mandat clair
soutenu par un vote de grève fort.
La deuxième ronde de négociation a produit les résultats désirés :
l’employeur a retiré ses demandes relatives à la prime d’assurances
collectives et au taux des heures supplémentaires.
Les 36 membres ont acceptés un nouveau contrat de travail de 5 ans,
générant des augmentations de 2.75% - 2.75% - 3% - 3% -3% et des
améliorations à la caisse de retraite et aux vacances.
Félicitations au comité de négociation formé des confrères Roland
Robitaille, Denis Breton et Jean François Tremblay
Pourquoi ne pas devenir un chef
de file mondial
de la production éolienne?
Le syndicats d'Hydro-Québec vous invitent à prendre connaissance
des différentes publicités, de la revue de presse et des
documents qui pourront vous permettre de mieux comprendre les
enjeux majeur de la privatisation de l'énergie éolienne au
Québec.
L’énergie éolienne, complémentaire à
l’hydroélectricité, nous place
avantageusement dans la production « verte » d’électricité. Dans
la foulée du Protocole de Kyoto, pourquoi ne pas contrôler cette
filière d’avenir ? L’eau et le vent, qui appartiennent à tout le
monde, doivent bénéficier à l’ensemble des Québécois et
Québécoises. En nationalisant l’énergie éolienne, en gardant un
contrôle public des barrages, on s’assure de conserver au Québec
les retombées de ces sources d’énergie au lieu de voir les
profits être accaparés par des entreprises privées, la plupart
du temps étrangères. Dans ce scénario, il ne nous resterait que
du vent…
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